2 réflexions sur “3 questions à Steve Shehan dans « inexploré »”

  1. Cher Steve Shehan,
    Vous voyant porter le Kapol afghan, je pense à Massoud, au peuple des cavaliers… Et viens d’écouter l’une de vos compositions sur Kaboul que je ne connaissais pas. Très beau. Vous ai découvert voici huit ans…avec Hadouk et n’oublierai pas ce concert si chaleureux avec votre ami (que j’ai toujours beaucoup aimé) Tcheky Kario, Satellit café, lui aussi passé sous les fourches caudines de la rentabilité. Dommage, j’adorais ce lieu. Tcheky …qui -au passage- n’a toujours pas terminé son second album… <:-)
    Je regrette beaucoup la dissolution du groupe Hadouk (vous ai vu maintes fois en concert, ce fut toujours lumineux et aérien), mais vos nouveaux (et anciens) complices, notamment Vladiswar Nadishana, Nicolas Genest, Nabil Othmani et Ibrahim Malouf (sorry for u, the others, i'll discover you somme day on stage) sont un prodigieux "lot de consolation". Souvenirs magnifiques de votre concert Hadouk au New Morning avec Vladiswar et Nabil.
    Hang with you est à l'instar de vos précédents albums un voyage intérieur, tourné vers l'ailleurs : on se sent, assis confortablement sur un nuage doux et cotonneux, ébloui -tel Bruno Ganz dans Les Ailes du désirs-, par le spectacle du monde et des êtres, époustouflant de beauté, coloré et fragile. Terre, ciel, fleuves, flore et faune jaillissant sous nos yeux fermés, tel un tableau paradisiaque, l'Homme a trop tendance à oublier, qu'il en fait partie. Qu'il en est le gardien. Hang with you ramène aux sources de la vie. Dans l'attente d'un prochain concert…

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